Les douze coups : l’émission arrangée, Bruno balance du très lourd sur Émilien « c’est flagrant qu’il est

Invité de Sud Radio ce jeudi 18 avril, Bruno Hourcade, le plus grand champion des 12 coups de midi, a balayé d’un revers de main l’idée que l’émission de la Une favoriserait ses grands champions.

Il n’a pas volé son titre ! Invité de Sud Radio ce jeudi 18 avril, Bruno Hourcade, le plus grand champion des 12 coups de midi, a répondu aux questions du journaliste Gilles Ganzmann au sujet de potentielles triches dans le jeu quotidien de TF1. “Avez-vous eu le sentiment qu’ils font tout pour que vous restiez plus longtemps dans le jeu ?”, a interrogé l’animateur de l’émission média, qui se demandait si les Maîtres de midis étaient favorisés. Des suspicions que Bruno, avec des propos parfaitement construits et imagés, a très vite balayées.

“Je n’avais pas l’impression qu’une thématique revenait souvent” : Bruno (Les 12 coups de midi) tord le cou aux accusations de triche

Participant des 12 coups de midi du 20 janvier au 5 octobre 2021, Bruno Hourcade, alors surnommé “Fifou Dingo”, a participé à 252 parties dans le jeu de TF1. Une performance le plaçant sur la plus haute marche du podium du classement des Maîtres de midi. Il a donc logiquement défendu l’émission qui l’a couronné, tout en justifiant sa prise de position. “Personnellement, peut-être que je me voile la face, mais je n’en ai pas eu tellement l’impression.

C’est peut-être aussi parce que je considère que je n’ai pas vraiment de domaines d’expertise”, commence-t-il par développer, en précisant qu’il avait néanmoins des bases partout. “Je n’avais pas l’impression qu’une thématique revenait souvent”, continue-t-il.

Les 12 coups de midi : Bruno Hourcade propose une solution pour mettre un terme aux idées reçues sur la triche

Pour imager son récit, le plus grand champion du jeu lancé en juin 2010 sur TF1 cite un autre de ses célèbres confrères : Paul El Kharrat. “Peut-être que pour certains, comme Paul, passionné d’histoire, à chaque fois qu’une question d’histoire revenait, on se disait ‘et comme par hasard, encore une question histoire'”, admet-il.

Il propose toutefois une solution afin d’en avoir le cœur net. “Si on prenait un fichier et qu’on calculait, je ne suis pas sûr qu’il y avait plus d’histoire que de littérature, de science ou de politique”, conclut-il en ajoutant : “S’il y avait toute une émission sur des questions d’histoire, ça serait bien plus flagrant que ça.” Voilà qui est dit !