Michel Sardou : Jordan Bardella élu, le chanteur réagit cash « les français ne veulent pas d’un…

Lundi 10 juin, Michel Sardou s’est rendu au Pathé Wepler, à Paris, pour rencontrer ses fans venus assister à l’avant-première de la diffusion de sa tournée d’adieu. Un moment au cours duquel le chanteur n’a pas mâché ses mots au sujet des politiques.

Alors que de nombreux Français ont les yeux rivés sur le paysage politique, Emmanuel Macron ayant décidé de dissoudre l’Assemblée nationale après la victoire du RN aux élections européennes, Michel Sardou s’est offert un moment privilégié avec ses fans.

Lundi 10 juin, le chanteur de 77 ans s’est rendu dans une célèbre salle parisienne pour présenter, en avant-première, la captation de son ultime tournée, qui sera diffusée les 20 et 23 juin prochains dans plusieurs cinémas. Connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, le jeune retraité s’est alors permis de pointer du doigt les politiques au moment de saluer les spectateurs.

Questionné par une personne présente dans la salle de projection sur la possibilité d’un dernier retour sur scène, Michel Sardou a répondu avec humour : “En 2029 t’auras rien du tout.

Je serai Premier ministre ou rien.” Une petite phrase qui n’a pas manqué de faire réagir la foule, qui s’est alors mise à scander : “Michel, président !” Loin d’être flatté pourtant, l’époux d’Anne-Marie Périer a rétorqué : “Président ? Non, non, on déteste tous les présidents, alors que les Premiers ministres, on dit ‘ils sont marrants’.” Pour clôturer cette parenthèse, l’interprète de “La maladie d’amour” a ajouté, cinglant, en s’adressant aux acteurs du monde politique : “Arrêtez de faire chier les Français par exemple, ça serait bien !”

Michel Sardou : ce président qui était un grand admirateur

Si Michel Sardou s’est moqué de la tendance à l’impopularité des présidents lors de son passage au Pathé Wepler de Paris, le chanteur a, quant à lui, profondément marqué un ancien locataire de l’Élysée. Dans le documentaire Sardou, autoportrait, diffusé sur France 3 en mars dernier, l’ancien époux de la danseuse Françoise Pettré a ainsi révélé que François Mitterrand lui vouait une grande admiration, au point de l’inviter au 55 rue du Faubourg Saint-Honoré (Paris) : “Je reçois un coup de téléphone du secrétariat de l’Élysée. Au début, je crois à une plaisanterie : ‘Le président vous invite à déjeuner jeudi’.” Et de poursuivre son récit : “Je suis tout seul dans le salon bleu avec mon champagne et j’attends. Un truc sonne ! BAM ! Comme un brigadier de théâtre, la porte s’ouvre et je vois le président de la République. Là, il me sort toutes mes chansons !”